La deuxième vie des feuilles est éphémère et périssable avec une durée de vie limitée en fonction du type de feuille. L’intégration du vivant entraîne la dégradation irréversible de l’élément naturel qui paraît comme un élément à caractère fragile. Cette fragilité se perd avec l’encre et ainsi commence leur deuxième vie, mise en relief avec des jeux de lumière. C’est son caractère provisoire qui est, en quelque sorte, l’essence ultime de leur pérennité.